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Bien qu’attendu, le ralentissement de la croissance du fret au premier trimestre a été renforcé par des récessions en Asie ; les progressions sur l’ensemble de l’année devraient également être ralenties.
Les volumes globaux de fret ont de nouveau augmenté au cours du premier trimestre 2019 dans les secteurs aérien et maritime, malgré des taux de croissance inférieurs à ceux des périodes récentes. Les perspectives à moyen terme concernant les flux plus importants restent positives, mais les facteurs macroéconomiques et les craintes persistantes en matière de politiques commerciales ont semé le doute lors de la planification des exportations.
Ce ralentissement du début de l'année 2019 a conduit l'Association internationale du transport aérien (IATA) à revoir son estimation de l'expansion, la réduisant de 3,7 % à 2 % pour l'année, contre 3,4 % en 2018. L'IATA a fait état d'une baisse de 0,9 % de l'activité au cours des trois mois terminés en janvier par rapport à la même période l'année précédente ; il s'agit de la plus faible hausse depuis 2016. Le ralentissement en février a été de 4,7 % d'une année sur l'autre.
De même, le cabinet de conseil en transport maritime Drewry prévoit une réduction des volumes maritimes de 4,3 % en 2018 à 3,9 % cette année, les niveaux de fret au premier trimestre étant nettement inférieurs à ceux des périodes précédentes. En conséquence, les transporteurs maritimes (à l'instar de leurs homologues aériens) ont réduit leur capacité de façon à maintenir les taux malgré l'accalmie.
Malgré les perspectives modérées pour cette année, Drewry prévoit un niveau d'activité raisonnable pour 2020-2023, situé entre 4,5 % et 4,9 %. L'IATA, quant à elle, s'attend à une augmentation annuelle moyenne de 4,4 % entre 2020 et 2025.
La plupart des observateurs avaient prédit le ralentissement au premier trimestre, conclusion d'un important cycle de réapprovisionnement mondial, et les exportateurs avaient finalisé leurs livraisons avant la menace de sanctions commerciales entre les États-Unis et la Chine. Toutefois, le rebond envisagé dépendra en partie de l'amélioration des facteurs sous-jacents qui influent sur le ralentissement de la croissance du fret.
Les prévisions en faveur d'un regain de vigueur dans le secteur du fret reposent sur l'hypothèse selon laquelle un conflit commercial entre les États-Unis et la Chine sera évité. Si cette hypothèse se vérifie pour l'instant, la menace demeure en raison du caractère imprévisible du climat politique actuel. Les observateurs espèrent également que l'expansion économique mondiale, actuellement de 2,5 %, dépasse à nouveau les 3 % et relance ainsi la croissance du commerce mondial qui est passée de 4 % à la mi-2017 à moins de 2 % à la fin de l'année dernière.
Bien qu'une impulsion macroéconomique contribuerait probablement à renforcer l'activité de transport de marchandises, la nature contrastée et confuse de ce ralentissement récent ne permet pas d'affirmer avec certitude qu'un remède unique puisse guérir tous les maux.
« Les volumes en provenance de Chine étaient déjà en baisse avant le Nouvel An chinois, y compris les flux à destination d'autres pays d'Asie servant de relais pour les marchandises destinées aux États-Unis, explique Claude Picciotto, Directeur des achats de fret aérien chez Bolloré Logistics à Paris. Le fléchissement de la Chine n'a pas été très surprenant. Mais personne ne s'attendait à ce que la Chine reste stable après le mois de mars alors que les volumes avaient chuté sur tous les autres axes. »
M. Picciotto indique que les transporteurs ont réduit leur capacité à tous les niveaux afin de maintenir la stabilité des prix et du rendement, malgré d'importantes fluctuations des flux en fonction des axes.
« Alors que la Chine est en baisse de 15 % et l'Asie-Europe de 13 %, l'Europe-Asie est en hausse de 4 % et l'Europe-Amérique du Nord reste stable, commente-t-il. Mais tous disposent d'une capacité réduite, et la planification à long terme reste importante pour garantir aux exportateurs l'espace dont ils ont besoin. »
« Les transporteurs maritimes tirent également de la capacité de ce contexte d'affaiblissement de la demande », déclare Anne-Sophie Fribourg, Directrice des achats de fret maritime chez Bolloré Logistics à Paris. Mais outre le maintien des taux, la réaction des compagnies maritimes vise également à prendre les mesures environnementales nécessaires avant l'adoption imminente des règles de l'Organisation maritime internationale destinées à réduire les émissions de soufre.
Les règles de l'OMI 2020, qui entreront en vigueur en janvier, devraient coûter quelque 15 milliards de dollars aux armateurs, ce qui donnera à réfléchir aux exportateurs lors de l'élaboration de leurs futurs plans de transport.
« Les exportateurs sont déjà insatisfaits des procédures et du manque de transparence des surcoûts et des frais qui s'ajoutent aux taux contractuels, ils veulent donc savoir quelle part de cette somme se répercutera sur eux », explique Mme Fribourg.
En effet, une récente enquête du Conseil des chargeurs européens a demandé à près de 300 clients et prestataires de transport & logistique d'évaluer les services de transport maritime. Le sondage a révélé que les critiques les plus sévères concernaient la clarté des prix et l'application de surcoûts. Par conséquent, l'étude exhorte les transporteurs de fret à utiliser les changements et les coûts imposés par l'OMI 2020 comme catalyseur pour mettre en place des grilles tarifaires restructurées et transparentes.
« Il s'agit d'une dépense énorme, et la prendre en compte aura des conséquences très importantes sur l'ensemble du secteur, indique Mme Fribourg. Les exportateurs ne peuvent rien planifier de manière efficace s'ils ne peuvent pas estimer les coûts auxquels ils seront confrontés. Cela est particulièrement vrai dans les périodes de fluctuations et de changement. »
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